A Dark Dark Man d’Adilkhan Yerzhanov
13 octobre, 2020 | par @avscci
Un policier chargé d’étouffer une sombre affaire de pédophilie au fin fond de la steppe kazakhe voit ses certitudes malmenées
13 octobre, 2020 | par @avscci
Un policier chargé d’étouffer une sombre affaire de pédophilie au fin fond de la steppe kazakhe voit ses certitudes malmenées
13 octobre, 2020 | par @avscci
Sans doute faut-il pour apprécier ce film avoir gardé une âme de bambin. À en juger par le succès planétaire
13 octobre, 2020 | par @avscci
Œuvre de fiction fondée sur des événements atrocement réels, Una promessa est le troisième film des jumeaux Gianluca et Massimiliano
9 octobre, 2020 | par @avscci
Le cinéma iranien nous a habitués à des chroniques sociales tournées parfois clandestinement dans lesquelles s’expriment les aspirations d’un peuple
9 octobre, 2020 | par @avscci
Comme son titre ne l’indique pas, Sister est un film bulgare. Issu donc d’un pays dont (c’est peu dire) nous
9 octobre, 2020 | par @avscci
Il y aurait beaucoup à dire sur la place sidérante prise par le cinéma d’horreur dans la production mondiale depuis
9 octobre, 2020 | par @avscci
Dans un foyer pour mères adolescentes de Buenos-Aires, une jeune novice italienne sur le point de prononcer ses vœux est
9 octobre, 2020 | par @avscci
Quatre longs métrages en l’espace de quatorze ans : Raphaël Jacoulot ne fait pas partie des stakhanovistes du grand écran. Mais
1 octobre, 2020 | par @avscci
C’est peu dire que l’on s’attendait peu à voir le nom de Jan Kounen accolé à un film qui se
1 octobre, 2020 | par @avscci
Il y a quinze ans Miranda July décrochait la Caméra d’or à Cannes avec un premier film délicieux, Moi, toi
1 octobre, 2020 | par @avscci
En général on ne connaît en France de Giuseppe De Santis (1917-1997) que Riz amer (1949). Et de ce film,
1 octobre, 2020 | par @avscci
Touché par l’histoire et l’œuvre de Josep Bartoli, Aurel, lui-même dessinateur de presse, a eu envie de rendre hommage à
1 octobre, 2020 | par @avscci
Parler d’épure pour évoquer les derniers longs métrages de Hong Sang-soo est une litote. La simplicité revendiquée (et bien évidemment